Sans aucun doute une course à refaire.
La jouissance extrême pour un francilien: battre les olympiens sur leur terrain. C est fait. 50 % du peloton provient de la région paca Seul 11% de l île de France et pourtant avec un rapport de force bien inférieur au début des débats le bataillon dans lequel était représenté ascdde drancy a brillamment vaincu ,voir laminé , les marseillais.
Apres avoir déjoué tout leur mauvais plan , 1 Metro tout les 15 mn, fouilles individuelles personnalisées et attentes dans des sas de décontamination ombragé bordés de chiotes puants infestés de zombies et autres inconscients de la dangerosité du produit, nous nous projetons sur la ligne de départ en toute queue du troupeau tel des texans à cheval surveillant le déplacement massif du troupeau.
Retour à la réalité. Dès les premiers kms , notre aisance naturelle reprend ses droits et bien naturellement nous nous infiltrons au cœur même du noyau.
En toute décontraction nous remontons 1 à 1 les presque 15000 participants pour échouer à quelques encablures du podium réservé comme il se doit aux Kényans et habitants des pays d Afrique de l est.
Revenons en à La délégation dranceenes:Nous ne dévoilerons pas nos chronos personnels, ils restent secret mais sachez qu ils sont conformes aux normes environnementales et conformes à notre marge de progression constante. A 2 ou 3 minutes près nous finissons tous et toutes dans un mouchoir de poche.
Soleil, 4 ravito bien achalalandé, plage et sable fin à l arrivée , baignade dans une eau 20 * tout de même pour ceux qui avait transpiré et un regroupement naturel pour fêter et notre performance ainsi que l anniversaire de Vero.
Au menu huîtres de marennes( fine de claires) petites crevettes pêchées au vieux port, langouste arrosé au blanc de cassis, fraisier champagne et bandol en boissons d accompagnement. Certains restèrent à la san pellegrino car toujours plein soleil. Ca tape. Vers 16 h retour au bercail en bus pour à nouveau debriffer avant le barbecue du soir.
Une journee bien remplie.
SEMBLANET G..
